Exposition collective qui permet aux grand public de s’approcher du monde de la culture, du monde de l’art et qui permet également aux artistes de s’approcher l’un de l’autre.
J’ai préparé des nouveautés pour cette troisième fois.
D’abord le portrait féminin dont certains visiteurs pensaient qu’il s’agissait d’un autoportrait. Non, ce n’est pas un autoportrait, j’aime les chevaux, j’ai même essayé d’apprendre à monter à cheval mais … Je préfère de me promener à côté d’un cheval que d’être assise à son dos.
Les chevaux étaient toujours une sorte de symbole de la liberté, mais de la liberté „sauvage”, vivre sans contrainte.
Sur ce portrait ce n’est pas le cheval qui a été mis en relief mais la femme qui est en parfaite harmonie avec son entourage : la nature et le cheval.
Les orchidées : une image vaut mille mots.
Le paysage biarrot avec la Villa Belza a été présenté une deuxième fois, parce que l’année dernière le temps n’était pas clément, le premier jour faisait froid et le deuxième jour a été annulé à cause de la tempête.
J’ai choisi un autre paysage, cette fois un paysage hongrois. Il existe un poème qui me plaisait toujours, son titre : Paysage hongrois par pinceau hongrois. Alors c’est exactement ça.
Le tableau représente le lac Balaton, nous les Hongrois, nous n’avons pas de mer, mais nous avons le Balaton qui est un grand lac, au Nord duquel se trouve la montagne Badacsony, connue pour son vin blanc.
Le voilier se nomme Juditta, il servit aujourd'hui de voilier d'excursion et c’est la copie d’un bateau qui existait il y a plusieurs siècles.
Pour finir : Paix et Abondance.
Nature morte symbolique avec des grenades et des feuilles de palmier. Il y avait une seule personne, une femme, qui a compris la signification de cette „nature morte”.
Nous vous laissons la deviner.